magie,les différentes sortes
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   Posté le 25-05-2006 à 22:24:36   Voir le profil de idji (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à idji   

tous sur le paganisme et, les sabbats, les runes, le reiki.


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   Posté le 26-05-2006 à 22:42:58   Voir le profil de idji (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à idji   

Magie : Autre type de magie, la kabbale
La kabbale Le terme kabbala, littéralement « tradition », désignait à l’origine toute tradition doctrinale, même biblique à l’exclusion du Pentateuque, et plus particulièrement la transmission, d’abord orale, ensuite écrite, d’enseignements concernant la pratique religieuse. C’est seulement au XIIIe siècle que ce terme désigne un système doctrinal particulier et au XIVe siècle que les penseurs de ce courant sont appelés «kabbalistes» de préférence à toute autre désignation.
L’apparition de la mystique juive coïncide avec la période des grands courants théosophiques et gnostiques des premiers siècles de l’ère chrétienne. On peut suivre son développement ininterrompu du IIe siècle à nos jours. Comme toute autre forme de mystique religieuse, elle cherche essentiellement à réinterpréter les données de la Révélation en vue d’atteindre des réalités supérieures par le moyen de la connaissance, de la vision ou à travers une expérience vécue. La spécificité de la mystique juive par rapport à la mystique grecque, chrétienne ou musulmane s’exprime dans certains concepts fondamentaux qui demeurent permanents quelle que soit la diversité des formes ou des moyens d’approche que revêtent ou adoptent les courants doctrinaux.
La méditation est centrée en premier lieu sur le concept du Dieu vivant, dont l’essence inconnaissable se manifeste dans ses attributs. Ces attributs sont en même temps les étapes de procession du monde de la divinité, qui transcende l’univers phénoménal et est cependant activement présente dans tout ce qui existe. Cette multiplicité de niveaux et d’attributs a pour origine le Dieu unique, source de toute existence.
La finalité de l’investigation mystique est la connaissance de ce monde divin. Les deux instruments providentiels qui permettent de la réaliser sont la Tora et la langue hébraïque. La Tora n’est pas seulement un texte composé de phrases et de mots, mais la manifestation concrète de la Sagesse divine, dont aucune interprétation en langage humain ne peut exprimer le sens intégral. Les commandements qu’elle contient selon le sens littéral sont les expressions, adaptées à l’entendement humain, de lois universelles. Leur accomplissement permet une participation effective à la réalisation de l’harmonie cosmique.
La langue hébraïque reflète la nature spirituelle de l’univers. Les lettres qui la composent sont les éléments de la création; la connaissance de leurs lois internes donne accès à celle du monde divin dont elles procèdent. Par l’interprétation anagogique de la Tora et des commandements, la mystique juive se greffe sur la religion exotérique. Si l’on excepte deux ramifications tardives qui s’en détournent, l’orthodoxie rigoureuse reste la base commune de tous les courants ésotériques du judaïsme.



Les cénacles de Provence
Vers les années 1200, le midi de la France, agité par des tensions religieuses intenses et surtout par le catharisme, devient le foyer d’un épanouissement culturel exceptionnel des communautés juives, avec plusieurs centres d’études renommés en Provence (Narbonne, Béziers, Montpellier, Lunel, Posquières); au XIIIe siècle, on en trouve en Catalogne (Gérone, Barcelone) et en Castille (Burgos). Bien qu’on ne puisse faire état d’une information biographique étendue, le nom et l’identité des membres les plus éminents en sont connus. Jacob Nazir de Lunel, Abraham ben Isaac (mort en 1179) et son gendre Abraham ben David de Posquières (mort en 1199), autorités religieuses de renom, ont laissé, parmi leurs écrits, des fragments d’enseignements théosophiques. Le fils d’Abraham ben David, Isaac l’Aveugle de Narbonne, que les sources contemporaines présentent comme le type pur du mystique contemplatif, est le premier lettré juif dont l’activité se limite à la kabbale. L’école de Provence annonce un renouveau doctrinal important. Ce sont surtout les écrits d’Isaac l’Aveugle (commentaire sur le Sefer Yesira ), mais aussi les allusions contenues dans les œuvres de Jacob Nazir et d’Abraham ben David qui montrent que les spéculations, centrées sur le monde séfirotique, s’efforçaient de formuler la distinction entre l’aspect manifesté de la divinité – le Démiurge, en hébreu Yoser bereshit – et son aspect non manifesté – la Cause des causes –, inconnaissable à l’homme, même au sommet de la contemplation mystique. Ces écrits annoncent aussi une nouvelle technique de contemplation reliant les mots de la liturgie à la méditation sur les sefirot ; cette technique jouera un rôle central dans les branches tardives de la kabbale.
La kabbale chrétienne
L’expression de kabbale chrétienne désigne un courant d’idées fort complexes qui, depuis le scandale des thèses De omni re scibili de Pic de La Mirandole, à la fin du Quattrocento, se développa avec des fortunes diverses à travers l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la France, l’Angleterre, les Pays-Bas, la Suède, jusqu’à la publication en 1911 de la traduction du Zohar , la bible de la kabbale, à l’instigation d’E. Lafuma-Giraud, qui y trouvait «l’écho d’enseignements et de traditions antérieurs à l’époque de l’avènement du christianisme». Ce courant intéressa Pascal, les platoniciens de Cambridge, Leibniz, Milton, Goethe, Schelling, avant d’entrer dans le domaine d’un occultisme du plus mauvais aloi, qui fut illustré notamment par Éliphas Lévi, Papus, Aleister Crowley, d’où les recherches suscitées par Gershom Scholem l’ont enfin tiré.
La kabbale chrétienne se manifesta d’abord en Espagne, où des convertis, dans la perspective apologétique du Pugio fidei («Le Poignard de la foi», XIIe s.), cherchèrent, en sollicitant les textes, à prouver la vérité de la religion de Jésus, le Messie. C’est ainsi que le Zohar , donné comme ayant été composé avant le Christ, put être publié par des chrétiens (Crémone, 1559) au moment où l’on détruisait le Talmud .
Ce sont des convertis de ce genre qui entourent Jean Pic de La Mirandole (Giovanni Pico della Mirandola, 1463-1494): son traducteur de textes kabbalistiques, Flavius Mithridates, et Paulus de Heredia, l’inventeur du Gale Razeia (Revelator arcanorum , «Le Révélateur des mystères»), où le dogme de la Trinité apparaît plus clairement que dans le Symbole des Apôtres. L’auteur de l’Heptaplus et des Conclusiones cabalisticae y retrouve, en outre, la source de tous les auteurs favoris de l’Académie platonicienne de Florence: Platon, Hermès Trismégiste, Pythagore et Orphée. Et Léon l’Hébreu, un fils du grand Abrabanel, dans ses Dialoghi d’amore (1502), fait de Platon un kabbaliste.
Gilles traduit les principaux monuments de la kabbale, où il retrouve le vrai sens de la philosophie italique, dont Virgile fut l’élève; son traité De litteris sanctis («Les Lettres saintes», 1517), fut publié partiellement par Teseo Ambrogio dans son Introductio in chaldaicam linguam («Introduction à la langue chaldaïque», 1539); mais sa grande œuvre, Scechina , dans laquelle la dixième sephira révèle la kabbale à Clément VII et à Charles Quint, est restée manuscrite: elle n’a été éditée qu’en 1959. Et ce sont les œuvres de son contemporain, le franciscain François Georges de Venise (Francesco Zorzi, 1453-1540), De harmonia mundi (1525) et Problemata (1536), qui achevèrent de répandre la kabbale, avec celles d’un de ses élèves, le franciscain Archangelus de Burgonovo, qui le pilla et publia sous son propre nom les leçons qu’il avait faites pour expliquer les deux séries de thèses kabbalistiques de Pic de La Mirandole. La plupart de ces auteurs, auxquels H. C. Agrippa (1486-1535) fit d’abondants emprunts pour son De occulta philosophia («La Philosophie occulte», 1533), furent recueillis dans l’in-folio publié en 1587 par Joannes Pistorius, Artis cabalisticae , hoc est reconditae theologiae et philosophiae scripta , qu’on a appelé la bible de la kabbale chrétienne


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Magie : Origines historiques de la magie
Origines de la magie et économie préhistorique de la chasse Kurt Lindner, dans son magistral ouvrage sur La Chasse préhistorique, rappelle un fait fondamental: «La magie chasseresse, avec sa croyance à l’enchantement, est la racine de toute philosophie et de toute religion. C’est là qu’est sa signification pour l’évolution de la pensée humaine. Elle est plus ancienne que toute forme du culte des ancêtres et de croyance aux esprits, et, par cela, sans doute la plus antique expression du sentiment religieux. Le sens de toute magie étant la domination des forces secrètes de la nature, la signification de son expression supéropaléolithique était la volonté d’acquérir une emprise sur l’animal, dont dépendait l’existence pénible de la communauté.»
Sans doute est-il loisible d’admettre, auparavant, avec Herbert Kühn (Kunst und Kultur der Vorzeit Europas ), un stade prémagique pendant lequel les Hominidés effectuaient un certain nombre d’actions qui leur paraissaient utiles et efficaces, mais auxquelles ils n’attribuaient pas nécessairement un sens sacré. Il est au moins probable que le camouflage permettant l’approche du gibier a été l’origine du masque porté ultérieurement par le magicien au cours de ses danses rituelles. L’Homo magicus n’est pas, d’abord, un individu exerçant une fonction spéciale de magicien ou de devin, mais représente plutôt un état intuitif de la pensée humaine, prélogique et spontané, essentiellement associé à des expériences concrètes qui ne sont point généralisables. En d’autres termes, l’accumulation quantitative de pratiques quotidiennes de camouflage, répétées pendant des centaines de générations, a permis à l’homme de s’identifier mimétiquement à l’animal chassé jusqu’à un point de perfection à peine imaginable par les civilisés du XXe siècle.
Dans ces conditions, l’acte et sa représentation n’étaient point des catégories logiquement distinctes. L’«homme magique» préhistorique traçait un schéma dynamique; il ne reproduisait pas l’image d’un animal. Il condensait et faisait coïncider sur un plan une rencontre de lignes toujours particulières et accidentelles qui ne tendaient jamais à figurer une espèce, mais tel ou tel individu spécialement visé qu’il s’agissait de réduire par l’envoûtement à ses points de moindre résistance afin de le mieux atteindre.
On a observé, d’ailleurs, que ce moyen était jugé d’autant plus efficace que la nature avait déjà formé ce schéma dynamique, là où, par exemple, il suffisait de modifier un relief rocheux, une excavation projetant de l’ombre, et d’ajouter quelques traits et des traces de couleurs pour obtenir le support magique recherché. Les pièges, les lances, les flèches, le lasso, ne manquaient pas leur but, car, dans l’extraordinaire économie de la rencontre provoquée par cette projection spatiale, le temps de la chasse réelle était déterminé en quelque sorte par des rythmes inconscients qui conduisaient simultanément l’homme et l’animal l’un vers l’autre, et notamment par le pouvoir contraignant des danses mimétiques et des rites sexuels de fécondité.
On doit relier entre eux, en effet, dans le monde magique du chasseur préhistorique, le schéma dynamique de l’animal, sa situation spatiale et son utilisation rituelle, selon un double sens: celui de la destruction de l’animal et celui de la reproduction du gibier détruit.
De nombreuses œuvres de l’art supéropaléolithique, en particulier des sculptures, se trouvent en des sites difficilement accessibles et en des grottes dissimulées. Menghin a fait remarquer que la grande frise d’Altamira ne peut vraiment être aperçue dans son ensemble qu’en position couchée. Ce ne sont pas des motifs esthétiques ni des besoins décoratifs qui justifiaient la situation de peintures et de gravures en de profondes anfractuosités où l’on devait pénétrer en rampant. Il s’agissait là de lieux réservés aux rites magiques d’initiation dont l’existence, au Magdalénien, montre la portée sociale.
Des empreintes de pas de garçons et de fillettes, conservées par l’argile durcie, témoignent encore des danses rituelles et, probablement, des cérémonies magiques de fécondité, pratiquées devant des effigies animales. Parfois, il pouvait s’agir de tableaux pédagogiques. Un endroit reculé de la grotte de Montespan représente une poursuite de chevaux, sans qu’aucun chasseur n’y soit figuré. Le sol a gardé les empreintes d’adolescents d’une dizaine d’années, accroupis devant ce tableau. Il est vraisemblable que des instructions pratiques étaient communiquées ainsi aux jeunes gens lors des rites initiatiques de passage dans la classe des chasseurs. Comme dans les autres formes de la magie de la chasse, les grottes utilisées à des fins magiques ne servaient point à l’habitat.
Selon l’ethnologie historico-culturelle, la magie de fécondité ne s’est pas développée après la magie de destruction de l’animal chassé, mais parallèlement à celle-ci. Toutes ses formes d’expression, la danse masquée, le mimétisme d’approche et l’imitation des cris et des gestes de l’animal par le sorcier-magicien, la ressemblance du schéma dynamique gravé, peint ou sculpté avec son objet, ont la même origine expérimentale dont le langage combine la foi au succès des rites avec l’action et l’expérience concrète de la chasse. Ce n’est qu’à un stade ultérieur de l’évolution qu’un transfert de ces conceptions magiques sur des objets plus abstraits se produisit: lors du passage de l’économie de la chasse à la culture du sol et à l’élevage. Cette mutation économique et technique répond à l’apparition des conceptions animistes et totémiques.



De la magie mimétique à la magie analogique Pendant des millénaires, l’homme a vérifié expérimentalement l’efficacité du mimétisme de son comportement de chasseur camouflé et masqué dans ses rapports avec le gibier, but principal de ses efforts quotidiens. En modifiant volontairement son apparence, en imitant d’autres êtres vivants, en s’identifiant à leurs désirs, à leurs cris, à leurs mouvements, le chasseur-magicien était devenu capable de leur donner la mort ou de les inciter à se reproduire, disposant ainsi, à son gré, de leur destin. Grâce à ces liaisons profondes de l’action humaine avec les rythmes de la nature et par cette participation directe aux mystères de la vie animale, la magie mimétique a constitué la forme première de la prévision et de la divination intuitive des lois auxquelles sont soumises les époques de rut et de migration des espèces.
Avec le développement lent et progressif de la culture du sol et de l’élevage, au Néolithique, la chasse a cessé peu à peu de s’imposer en tant qu’activité indispensable à la survie du groupe familial ou tribal. Les relations de l’homme avec les animaux sauvages sont devenues moins intimes et moins constantes. Parallèlement au déclin du naturalisme de l’art, les opérations abstraites sur des signes et sur des symboles ont remplacé celles qui, auparavant, guidaient et spécifiaient étroitement l’action destructrice ou fécondatrice des techniques magiques.
Les dessins animaliers stylisés du Néolithique annoncent que l’animisme et le totémisme commencent à transférer les puissances vitales primordiales à des signes porteurs de sens, lesquels témoignent déjà d’un haut degré d’abstraction et s’éloignent des limites étroites de l’expérience magique supéropaléolithique. Aussi doit-on rejeter la thèse classique d’une origine animiste et totémique de la magie. Celle-ci, bien plus ancienne, s’est transformée, elle aussi, quand les conditions économiques et techniques de la civilisation ont changé. Cependant, ses racines archaïques ont subsisté sous leurs adaptations nouvelles. On constate ainsi que le raisonnement analogique dont on sait qu’il forme tout le ressort de la théorie symbolique des «correspondances» cosmologiques et anthropologiques représente une acquisition relativement tardive et lentement élaborée par l’esprit humain, après des millénaires d’expérience concrète des techniques mimétiques des chasseurs.
C’est aussi de cette source immémoriale que sont nées les opérations de la magie cérémonielle, celles-ci ayant un pouvoir de contrainte qui ajoute à la force des gestes et des actes la puissance des noms et de la parole. De même que les chasseurs primitifs, grâce au mimétisme, à la danse et à l’envoûtement, prenaient en quelque sorte une possession anticipée du gibier, ainsi, les magiciens mésopotamiens et égyptiens s’identifiaient-ils aux dieux et aux démons invoqués par leurs prières, leurs rites et leurs formules. Tenant ou montrant les attributs symboliques de ces puissances surnaturelles, ils s’approchaient, revêtus d’ornements protecteurs et sacrés, des esprits redoutables qu’ils exorcisaient ou dont ils désiraient se concilier les faveurs. De même, afin de relier par l’amour et par l’harmonie la Terre au Ciel et pour obtenir les pluies nécessaires à la fertilité des cultures, les magiciens et les courtisanes sacrées, les «hiérodules», s’unissaient-ils charnellement dans les sanctuaires, selon des rites de fécondité pratiqués dès la plus lointaine préhistoire.
La longue durée et la permanence de ces opérations magiques durant des dizaines de millénaires sont prouvées avec assez d’évidence par le fait que les chasseurs supéropaléolithiques tournaient, en dansant, autour de la statue de l’animal envoûté, accomplissant ainsi un circuit qui a donné aussi son nom à l’exorciste suméro-akkadien – sahiru , «celui qui entoure» – et qui est également à l’origine des «cercles d’évocation», utilisés encore par la magie cérémonielle depuis la Renaissance jusqu’à notre époque.
Aussi a-t-on rapproché à juste titre l’image du magicien préhistorique de la grotte des Trois Frères de la figure animalisée de certains sorciers africains. On doit signaler de plus quelle étrange ressemblance présentent des «esprits de la Mer», d’origine mélanésienne, créatures fantastiques à la tête, aux mains et aux pieds formés par des poissons, avec la tunique écailleuse et la mitre du «dieu-poisson» des magiciens sumériens, les «hommes d’En-ki», devenus ultérieurement les prêtres du dieu Ea.
Magie et pédagogie La persistance extraordinaire de ces formes rituelles et de ces images magiques dans les temps et dans les pays les plus divers suppose une continuité des rites initiatiques depuis la préhistoire et, avec elle, une transmission orale de l’enseignement traditionnel de la magie.
Comment de telles pratiques auraient-elles pu durer pendant des millénaires si elles n’avaient jamais produit le moindre résultat positif, vérifié dans les faits de la vie quotidienne par des hommes qui ne se nourrissaient pas d’abstractions? On s’étonne de voir que les mêmes spécialistes qui s’accordent à reconnaître l’importance sociologique, psychologique et esthétique de la magie refusent d’admettre sa réalité expérimentale. Il y a là une évidente contradiction. Aussi convient-il de rechercher comment et pourquoi les opérations magiques pouvaient atteindre effectivement les buts qu’elles s’étaient fixés. Malgré les apparences, en effet, ces pratiques mimétiques étaient efficaces, sensées et clairement explicables.
Quel sportif, en effet, ignore l’efficacité de l’entraînement par la simulation d’un combat? Tout amateur du «noble art» a pratiqué le shadow-boxing , cette escrime contre un adversaire figuré par l’ombre du boxeur lui-même, ce «double» imaginaire d’une rencontre réelle. Le tireur s’exerce d’abord sur une silhouette afin de mieux atteindre ensuite une cible humaine. Nul acteur ne se produit sur une scène de théâtre avant d’avoir répété son rôle face à une salle vide. Il n’est pas jusqu’à l’art de la guerre qui n’exige des manœuvres simulées préparatoires et un Kriegspiel , indispensable à toute stratégie. De même, les chasseurs préhistoriques ne pouvaient-ils affronter des animaux souvent terrifiants sans une simulation rituelle capable à la fois de les aider à dominer leur peur instinctive des fauves qu’ils devaient combattre et de leur enseigner les gestes et les attitudes les plus favorables à l’approche et à l’attaque de ces monstres.
En contractant le temps réel de l’action future sur le gibier dans le cercle imaginaire du temps rituel, les magiciens concentraient prospectivement l’attention des chasseurs sur le but à atteindre. En animant le groupe par des cris, des danses, des travestis, en exaltant le sentiment de la force d’une communauté étroitement unie par des pratiques orgiastiques, la magie mimétique mettait les chasseurs dans un état de transe collective, et cette surexcitation permettait à chacun de dépasser le seuil de son angoisse et même les bornes de ses perceptions individuelles. Alors se rassemblaient, en un seul faisceau d’énergie psychique orientée par le magicien sur l’animal figuré, tous les désirs de la communauté et se constituait ce que l’on nomme un «égrégore», c’est-à-dire non seulement une somme d’expériences individuelles mais aussi l’unité vivante d’une conscience commune. Ainsi la magie a-t-elle été la forme première de la pédagogie. La préhistoire le prouve: l’initiation était un apprentissage des émotions du chasseur tout autant que des techniques de la chasse, un entraînement intérieur et extérieur des néophytes que l’on habituait à se vaincre eux-mêmes et à s’oublier afin de se souvenir de leur but et de leur mission au service de la collectivité qu’ils devaient nourrir et défendre.
Il n’y a point d’infantilisme dans cette conception magique de l’enseignement, toute «primitive» qu’elle semble. Les magiciens du Magdalénien étaient moins naïfs que bien des pédagogues modernes qui en sont venus à séparer de façon la plus grave l’instruction de l’éducation et l’apprentissage de l’initiation, formant ainsi des intelligences mais non point des caractères.
Cette évolution de la pédagogie s’est effectuée sous l’influence des religions et des philosophies, quand l’exotérisme des connaissances modernes s’est substitué à l’ésotérisme des mystères antiques ainsi qu’à l’apprentissage traditionnel aux arts et aux métiers. Le conflit permanent qui a opposé, dans les temps modernes, les conceptions religieuses puis la réflexion philosophique et la pensée critique à la magie sous toutes ses formes n’a pas été provoqué seulement par les progrès des connaissances et par l’évolution des sociétés. Il a ses racines dans la lutte qui a divisé, pour la conquête du pouvoir politique et social, des pédagogies aussi fondamentalement différentes que leurs conceptions du monde, de l’homme et de la nature. Aussi peut-on suivre les principales étapes de ce conflit à travers l’histoire du droit antique et moderne.
Les techniques magiques de la préhistoire a nous jours La loi magique fondamentale de «l’action du semblable sur le semblable», le principe de similarité, la puissance de l’analogie n’ont pas été des bases théoriques d’une «vision du monde» ni d’un système spéculatif sacralisé, mais autant de conséquences logiques d’un comportement ancestral, enseigné et suivi avec succès par maintes générations pendant tout le stade primitif de l’économie de la chasse.
Avec l’apparition de la culture et de l’élevage, l’incitation de l’animal à la reproduction par la magie analogique, par des cérémonies et des danses zoomorphes fut associée à des cultes agraires de fertilité. Dès les premiers temps de la civilisation sumérienne, la puissance magique du Taureau s’exerçait à la fois sur les troupeaux et sur les récoltes. Ce culte participait encore du mimétisme préhistorique bien plus que du sentiment religieux, et certaines opérations avaient pour but de transférer la force fécondatrice de l’animal à la terre cultivée. De même, en de nombreuses peuplades primitives, les pierres phalliques graissées étaient-elles enfouies dans les jardins ou dans les rizières pour les rendre fertiles.
On constate ainsi le passage de la magie imitative proprement dite, où seule la loi de similarité est observée, à la magie sympathique , dont le but est de communiquer à un être certaines qualités qu’un autre possède. Par exemple, chez les Indiens de la Patagonie, le moyen magique de prédestiner un enfant à devenir un bon cavalier consistait à l’assimiler, dès sa naissance, à un cheval, en le posant à l’intérieur du corps d’une jument éventrée pour la circonstance. Entouré de la chair et du sang de l’animal, le corps humain était censé recevoir ainsi les «esprits», les «qualités» ou les «vertus» de la bête avec laquelle, en quelque sorte, il communiquait, par sympathie, durant toute son existence.
Toutefois, on ne doit pas réduire les techniques magiques aux deux principes de «similarité» et de «sympathie» qu’on retrouve universellement dans la plupart de leurs procédés. En fait, les opérations des magiciens, si on les étudie avec assez d’attention, sont bien plus complexes qu’elles ne le semblent. Les «pierres magiques», par exemple, n’agissent point par leur seule présence, de façon mécanique. Les Néo-Calédoniens les disposent d’abord devant les crânes des ancêtres; on les humecte d’eau, on les essuie avec des feuilles d’arbres bien déterminés; on prononce sur elles des formules au moment où l’on apporte une offrande aux esprits des morts. La fabrication des «remèdes magiques» et des talismans pouvait atteindre un extrême degré de complication et ces opérations duraient, parfois, une année entière, voire plusieurs années, en fonction du retour de certains signes célestes favorables. Aussi est-il fort difficile de se prononcer sur l’efficacité réelle comme sur la nature véritable des techniques magiques, en général. Chacune d’elles exige, en fait, une longue étude particulière dont les conclusions ne seront pas nécessairement applicables en d’autres circonstances.
Il est assez évident, par exemple, que les vibrations produites par les formules et par les chants magiques dépendent non seulement d’une «voix juste» – ou plutôt d’une «voix vraie», selon l’expression égyptienne, – mais aussi de la puissance intérieure de l’incantateur. Le transfert d’un monde à l’autre, lors de l’offrande des provisions aux morts, en Égypte, était opéré, selon des expressions fréquentes dans les inscriptions funéraires de Thèbes, par «ce que crée la Voix sur l’autel».
De même dans la tradition magique musulmane, l’opération magique des noms divins, des lettres et des locutions secrètes ne peut-elle agir sur le monde des éléments et des phénomènes que si ces formules sont proférées par des «âmes spirituelles» (nufus rabbaniya ), douées de «vue intérieure», selon la doctrine d’al-Biruni, d’Ibn ’Arabi et de leurs disciples. Ibn Khaldun distingue nettement sur ce point les magiciens véritables de ceux qu’il nomme les «faiseurs de miracles par des talismans» et les «enchanteurs».
Ces derniers, selon ce philosophe, agissent sur l’imagination seule des sujets, leur communiquant des idées et des formes qui se transmettent à leur sens et s’objectivent pour eux en perceptions internes qui ne répondent pas à la moindre réalité extérieure. Aussi la tradition musulmane sépare-t-elle le «magicien licite» (muazzimun ), lequel obéit à Allah, l’implore, adjure les esprits par les noms divins et renonce à toute vie impure, du «magicien illicite» (sahir ), lequel asservit les esprits par des offrandes condamnables et par de mauvaises actions, comme le crime et l’inceste. Cette «voie blâmable» (al-tariqa al-madhmuma ) répond, en quelque sorte, à la «magie noire» des démonologues occidentaux. Elle remonterait à Iblis, par l’intermédiaire de sa fille Baydhakh. Les sahara (pluriel de sahir ) sont assimilés souvent aux Nabatéens de Sawad, reconnaissables à leurs talons fendus, c’est-à-dire à des Irakiens, à des habitants du «pays noir» – Sawad –, non arabe le plus ancien de la plaine d’alluvions située entre le Tigre et l’Euphrate. On peut reconnaître dans ces traditions de lointains souvenirs de l’antique magie de Sumer et de Babylone.
En Orient et en Extrême-Orient, des techniques magiques archaïques ont été conservées et, en quelque sorte, recouvertes par des pratiques ascétiques et mystiques dont l’origine philosophique ou religieuse est bien plus récente. Le bouddhisme a subi en Mongolie et au Tibet de profondes influences du chamanisme primitif, qui se combinèrent avec celles du tantrisme indien. Les danses cultuelles (en tibétain: tch’am ), dont les acteurs revêtent les masques des principales divinités lamaïques, présentent de ce point de vue le plus vif intérêt pour l’étude des survivances magiques préhistoriques.
En Occident, de nombreuses coutumes et croyances d’origine magique sont parvenues, à travers le folklore, jusqu’à l’époque contemporaine, et quelques-unes subsistent encore, à peine changées par l’évolution des mœurs et les transformations des institutions. En revanche, les techniques magiques proprement dites ont connu, dès la fin de la société antique et du paganisme, une décadence et une dégradation croissantes qui les transformèrent, peu à peu, en pratiques superstitieuses et souvent criminelles de sorcellerie contre lesquelles les lois civiles et religieuses exercèrent une constante et impitoyable répression jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.
Le caractère artificiel des traités magiques de la Renaissance – comme, par exemple, La Philosophie occulte d’Agrippa – ne permet pas, en effet, de les considérer autrement que comme de confuses compilations théologico-philosophiques destinées à satisfaire superficiellement la curiosité des érudits et des lettrés plutôt qu’à étudier vraiment les difficiles problèmes posés par la magie. Ce qui a été publié, à notre époque, par les «occultistes» mérite encore moins d’attention de la part des chercheurs. En revanche, c’est auprès des ethnologues, des archéologues, des psychologues, des sociologues et des historiens des religions que l’on pourra trouver, dans ce vaste domaine, les sources les plus utiles d’information et de réflexion.


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Magie : Les actes de magie
L’acte magique implique trois facteurs essentiels : la connaissance (le magicien est un initié), un but précis et des formes strictes (la modification d’un seul détail peut rendre le rite caduc). Le rituel fait souvent appel à la vertu de certaines plantes (ortie, benjoin, graines de tournesol…), qui doivent être cueillis à des moment déterminés (à la pleine lune, à la nuit de la Saint-Jean …) et par une personne douée de qualités précises. Le magicien utilise aussi les « vertus occultes » des pierres (chacune ayant des propriétés particulières), des débris animaux (dents de loup, cœur et pattes de hibou ou de chouette, rate de grenouille ou de crapaud, serpent …) ou des matériaux tels que le miel, la cire, le plâtre, etc.
Les rites Ces rites magiques se répartissent en deux catégories, qui s’interpénètrent parfois : les rites de transmission et les rites générateurs.
Sir James Frazer, dans son important traité « The Golden Bough » (« Le Rameau d’Or »), distingue deux types de rites au sein de la magie « sympathique ». Les premiers sont imitatifs, fondés sur le principe que « tout semblable appelle le semblable » (rite du culte du soleil dans l’Egypte Antique ; rites lunaires chez les Dayaks …). Mais, plus que tout autre procédure magique, l’envoûtement use de ses rites analogiques. Les méthodes les plus classiques consistent à façonner un « voult », figurine de cire ou de terre glaise à la ressemblance de la victime, à lui incorporer quelques rognures d’ongle, cheveux ou morceaux de vêtements, puis à percer d’une aiguille l’emplacement présumé du cœur, à la brûler ou la noyer pour provoquer la mort de la personne visée ; dans la magie primitive, al poupée est souvent remplacée par le cœur d’un animal. Ce rite est surtout répandu chez les Africains fétichistes ; il fut mis à la mode à la cour de France par Ruggieri et semble remonter à la plus haute antiquité. Parallèlement à cette magie mimétique, la magie contagieuse, qui se combine presque toujours à la précédente, trouve sa source dans l’idée que « tout corps vivant demeure solidaire de tout fragment, de tout excrétion qui en ont été prélevées (cheveux, poils, ongles, dent, graisse, salive, sang) et souffre de tout sévice exercé contre ces parcelles de lui-même. » (Maurice Bouisson). Ces rites de transfert expliquent le « tabou du nom » chez nombre de peuplade, l’évocation du seul nom pouvant servir à dominer la personne et à asservir sa volonté.
Cependant, c’est dans les rites générateurs que s’affirme véritablement la foi du magicien. Presque toujours orales, ces pratiques relèvent véritablement de la magie incantatrice. L’incantation tire ses vertus d’un rythme obsédant et de sonorités imitatives tout autant que des paroles émises. Dans l’ancien Orient, on lui attribuait même une valeur curative ; on l’utilisait pour lutter contre la maladie ou la mort, œuvre des démons. Notons que la conjuration, formule employée au cours de l’exorcisme et par laquelle on ordonne au démon de quitter le possédé, appartient à ces rites de génération, de même que le charme, arrangement de paroles dont se sert le magicien pour produire des effets merveilleux (tels le mot cabalistique « agla » pour éloigner le démon ou la célèbre formule moyenâgeuse « abracadabra » pour guérir la fièvre). Enfin, le sort peut se jeter également pas signes ou formules magiques. La superstition populaire accordait la faculté de « jeteur de sort » aux bergers. Le « mauvais œil » suffisait parfois à produire des maléfices. Sort que les sorciers cachaient en quelque lieu pour y produire de fâcheux effets (c’était un pot de terre contenant un mélange subtil), la charge était l’objet de cérémonies superstitieuses et d’invocation aux démons. Les hiéroglyphes envoûtés gravés sur les tombes de la vallée du Nil, les grimoires et les talismans témoignent du pouvoir que la magie prête aux mots, écrits ou prononcés.



Le talisman
Le talisman est un objet crée par le magicien pour prévenir le mauvais sort. Il doit ses vertus à quatre éléments essentiels : le moment de sa création, sa matière, les figures magiques et les inscriptions qu’il porte. L’amulette « fixe et concentre toutes les forces … agissant dans tous les plans cosmiques … elle établit l’homme au cœur de ses forces, faisant croître sa vitalité, le rendant plus réel, lui garantissant une meilleure condition après la mort » (Eliade Mircea « Traité d’histoire des religions ») ; fournie par la nature elle-même (scarabée, feuille de laurier, poil d’éléphant …), elle préserve des maladies, assure le bonheur terrestre et confère même de la force. Le fétiche est fabriqué par l’homme avec des matériaux naturels (morceaux de bois, cailloux, poudre d’ossement, herbes sèches …) ; il s’attache comme l’amulette au cou ou au bras pour préserver de quelque maladie ou de quelque danger. Enfin, le pentacle constitue le sommet de la magie talismanique ; il fait intervenir les éléments du macrocosme et les influences cosmiques.
D’autres manifestations de la théorie talismaniques apparaissent avec les tatouages, pratique commune à plusieurs peuples, les alphabets magiques, les sceaux planétaires, la symbolique des tapis d’Orient.


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Je demeure dans l'être spirituel et, de là, je détruis l'obscurité née de l'ignorance, avec la lampe illuminatrice de la connaissance.
idji
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   Posté le 26-05-2006 à 22:48:34   Voir le profil de idji (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à idji   

Je ne décrirai pas ce qu'est l'aura,tout le monde le sait.
Mais savez-vous par contre vous servir de votre aura?
Savez-vous comment l'utiliser pour vous servir et vous faciliter les choses partout ou vous allez?

Je n'entrerai pas dans les détails, ca serait trop fastidieux de lire un pavé de 200 lignes sur ce sujet,mais par contre je vous donne une petite astuce très facile à réaliser.
Lorsque vous vous rendrez à une réunion, ou bien à un party , avant d'y pénétrer, concentrez-vous en marchant rapidement et en vous fâchant intérieurement. Laissez monter votre colère le plus que vous le pouvez. Ensuite entrez parmi les gens, et examinez leurs réactions. Ils vont vous regarder bizarrement, et vont chercher à fuir votre compagnie.Et vous n'aurez pas prononcés un simple mot.
Une autre fois faites exactement le contraire. Avant d'entrer, pensez à la plus belle chose qui vous soit arrivé, ou au meilleur plat que vous préférez manger. Visualisez-cela comme si vous y étiez, saturez-vous de cette image au maximum.
Vous pouvez être certains que la couleur de votre aura va briller comme le soleil luit dans le ciel. Par la suite entrez dans votre party, et examinez les réactions autour de vous.
La différence va être très significative, vous verrez. Vous avez à convaincre un policier de ne pas vous saler d'une mande trop grosse, imaginez que vous êtes entrouré de la couleur bleue,et notez la réaction du policier.
Vous avez à négocier votre salaire avec votre patron, saturez-vous comme je l'ai décrit d'une bonne chose,et voyez le résultat.
Lorsque votre aura entrera en contact avec son aura, psychiquement il va ressentir exactement ce que vous pensez. Vos pensées ont énormément de pouvoir sur les autres, ne l'oubliez pas!

Pourquoi a t-on une aura?
Ce n'est pas pour rien,croyez-moi par expérience.

Essayez cela sur un animal, un chat, un chien etc...Vous resterez surpris, car ils sont très sensibles à ca.
Pourquoi l'humain a t-il prédominance sur tous les animaux?
À cause de son aura.

Vous allez voir un ami ou un parent qui est malade à l'hôpital, dans vos pensées vous avez intérieurement le souhait qu'il quérisse rapidement non!
Le simple fait de vous approcher du malade, et qu'il soit en contact avec votre aura lui fait le plus grand bien.Il guérit plus vite.Il y a le magnétisme qui entre en ligne de compte, et aussi l'aura qui vous entoure.
C'est une forme de magie que j'étudie assidûment depuis Août 1994. Les pouvoirs insoupconnés de notre cerveau alliés avec notre aura et notre magnétisme. C'est fantastique à étudier et à expérimenter,croyez-moi!
Axinor


Les couleurs de l'aura et leur signification>>>

Le Rouge :
Il s'agit fondamentalement d'une couleur physique symbole de la vie, elle représente la force, la puissance, la vigueur et la capacité à retenir l'attention d'autrui. Un rouge clair indique une nature nerveuse, impulsive. Un rouge sombre correspond à une sensualité ardente. En général le rouge est presque toujours lié à des troubles nerveux. Le rouge coloré de noir correspond à l'avarice et à l'égoïsme. Les individus dont l'aura possède une forte densité de rouge sont volontaires et possèdent une grande force physique.

L'Orange :
L'orange vif dénote une bonne santé et beaucoup de vitalité. Cette couleur favorise les forces vitales du corps éthérique. Elle indique souvent une forte personnalité, control de soi, réflexion, développement intellectuel, mais aussi orgueil et ambition. L'orange est souvent considère comme un symbole de bonne santé. L'orange est une couleur guérissante. Si vous avez beaucoup d'orange dans votre aura vous êtes en train de vous guérir vous même ou êtes un guérisseur naturel.

Le Jaune :
Cette couleur correspond aux capacités intellectuelles, au sens de l'amitié et à l'optimisme. Le jaune pale est souvent lié à la timidité, à la faiblesse de décision. Le jaune symbole la clarté des processus mentaux. Une jaune dore est un signe d'une spiritualité en éveil, c'est une couleur tonique qui revitalise le corps physique ainsi que les pensées. Le jaune représente le pouvoir personnel ainsi qu'un intellect très développé.

Le Vert :
Le vert représente l'affinité très haute entre le corps et l'âme. La présence d'un vert clair dans l'aura est bénéfique, mais attention, des tonalités sombres peuvent être signe de mensonges, de ruse et de tromperies. Les personnes qui ont du vert dans l'aura sont généralement vive, versatiles et s'adaptent à toutes les situations. C'est la couleur de la renaissance, du jaillissement de la vie nouvelle, de la prospérité et du succès.

Le Bleu :
Le bleu est la couleur des esprits élevés et des nobles pensées. Elle dénote idéalisme, dévotion, sentiments spirituels, confiance en soi. Un bleu est signe de loyauté, de sincérité et d'intégrité. Le bleu sombre est associé à la sagesse et à la sainteté (couleur de la Vierge Marie) c'est le symbole de la prière, de la méditation. Le bleu pale indique une volonté de réussite sociale. Un bleu marine reflète la pureté des sentiments religieux. La présence du bleu dans une aura peut indiquer également un esprit très créatif.

Le Violet :
C’est la couleur spirituelle par excellence. Amour, sagesse, pouvoir de l'esprit et grandeur : telles sont ses attributions. Si vous trouvez du violet dans l'aura d'un individu, c'est qu'il est très psychique et qu'il reçoit beaucoup d'informations spirituelles.

L'Indigo :
Cette couleur correspond à une spiritualité élevée et à une recherche assidue des vérités authentiques. Elle peut être signe de changement. L'indigo est la couleur de la compassion, du calme et de la sérénité.

Le Noir :
Le noir indique la malveillance et la haine. Il est associé aux mauvaises actions, à la discorde, aux pensées malsaines, c'est la plus mauvaise des couleurs dans une aura.

Le Rose :
Cette couleur est associée au raffinement, à la modestie, à la solitude délibérément choisie. Couleur du corps émotionnel, des attitudes de dévotion, de l'amitié et de l'amour physique, le rose agit sur le système nerveux, revitalise le corps éthérique par le truchement du corps émotionnel. Il accroît la volonté de vivre.
voila

Cerbère63


Salut Cerbère63,


Cool d'avoir remis ce post.

Tout les mages savent l`intérêt d`un bain magique,mais par contre n`en mesurent pas toujours la puissance. On peut charger notre aura et nos corps subtils .

La croyance populaire se veut que relaxer dans un bain chaud en pensant très fortement au rituel futur,consiste en un bain magique.Mais il n`en est pas ainsi,ce n`est plutôt qu`une phase du processus.

Les bains magiques ne sont que de petits rituels en eux-même.C`est une partie du rituel (seulement).

J`en reviens encore au magnétisme,me direz-vous!
Bien oui,car l`eau de par sa nature possède des propriétés magnétiques.Plus l`eau est froide,plus son degré d`absorption magnétique est élevé,plus elle est chaude,plus elle perd de ses propriétés,encore plus,quand elle atteint 37 degrés celcius,ses propriétés sont nulles.

Lorsque le praticien charge de l`eau froide,et qu`il la magnétise,il va imprégner cette eau froide de son désir intense,de manière à ce que le liquide capte et conserve cette charge pour ainsi la transmette et la transférer au corps astral de l`opérateur lors de l`immersion.

Je vais expliquer comment procéder.

Dans un bain propre,faire couler de l`eau très froide,environ à la moitié de sa capacité.Mettre ensuite une serviette devant le bain et s`agenouiller au dessus pour être à l`aise.Commencer par jeter une poignée de sel dans l`eau,puis avec l`index et le majeur de la main droite,bénir votre eau en tracant sur la surface la croix élémentale,c`est à dire une croix tracé de haut en bas,et de gauche à droite.

Une fois que c`est fait,toujours en position agenouillée,fermer les yeux et prendre trois grandes inspirations afin de bien se concentrer,puis avec toute la force de votre volonté,attardez-vous au désir à matérialiser sur le plan physique ce que vous désirez obtenir.

Posez vos mains au dessus de la surface de l`eau,et chargez là.Imaginez par exemple,de l`électricité et du magnétisme sortir du bout de vos doigts pour aller charger cette eau de votre désir,vous êtes absolument convaincus que l`eau absorbe votre désir,et que lors de votre immersion,l`eau transfèrera cette charge à votre corps astral.

Allongez-vous dans le bain une quinzaine de minutes,toujours en entretenant cette certitude que la charge de l`eau se transfère dans votre corps subtil,prenez l`eau dans vos mains et aspergez-en tout votre corps tout en maintenant votre concentration.

Quand c`est terminé,sortez sans vous sécher.Vous êtes maintenant prêt à faire votre rituel.
Ne croyez rien de ce que je vous dis,.... faites votre expérience !

Ce que je dis c'est ce en quoi je crois, mais n'est nul pour ceux qui n`aiment pas trop s`immerger dans l`eau froide,il faut savoir que l`eau chaude,même si on ne peut pas la magnétiser,on peut cependant la charger.

Il faut alors avoir recours à des éléments extérieurs,comme des éléments qu`on trouvera dans la nature.


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